vendredi 24 mai 2013

Et la rénovation commence


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Avoir démonté, c'est bien beau, mais il faut préparer maintenant, l'Amigo il ne va pas se remonter tout seul !



24 mai 2013

Ce soir j'ai pris une petite heure et demie pour préparer des pièces faciles. J'entends par facile, des pièces qui ne nécessitent qu'un nettoyage polissage. C'est souvent un travail long et parfois assez fastidieux.
Sur ce coup, j'ai nettoyé les soufflets de fourche en caoutchouc et les poignées en plastique ordinaire. L'ensemble est redevenu présentable.
Ensuite, j'ai poli un levier avec le touret à polir car il était vraiment très terni et à la main il eût fallu trop longtemps. Comme c'est de l'alu, le touret est efficace*.
Avec la petite polisseuse à main " Dremel", j'ai dérouillé des boulons, l'axe de bras oscillant dont les extrémités étaient peintes en bleu, les écrous et rondelles chromés de haut de fourche ainsi que les cerclages de soufflets de fourche. Finition "Belgom chrome".
Les pattes de phare très oxydées ne sont pas revenues comme je l'aurais pensé, la faute à une oxydation trop ancienne. Une surtout est très abîmée. Si j'en vois passer en occas...
Cela étant, ces pièces sont devenues montables en l'état et elles donneront à l'engin une patine à l'ancienne.



*Je n'aime pas le trop brillant qui donne un aspect clinquant, donc je m'arrête assez tôt et réalise la finition à la main au "Belgom alu" un excellent produit. Sinon, avec le touret on peut donner aux alus un aspect chromé qui peut plaire à certains. Il faut toutefois savoir que, d'origine, les alus chez Honda n'étaient pas brillants. Une partie était polie (té de fourche, commodos), l'autre partie était vernie (bras de fourche, carters moteur par exemple).

25 mai :

Deux heures à l'atelier dans l'après-midi après avoir posé des plinthes et fait de l'électricité, c'est ma bouffée d'oxygène !
Ce sont des éléments chromés qui ont eu mes faveurs. J'ai pris un second carton de pièces au hasard.
Tu parles d'un hasard, tu ne nous prend pas pour des idiots Alain ?..
Le hasard donc a posé sur l'établi le guidon, ses pontets, les anneaux de fixation, le robinet d'essence, le compteur et les coupelles chromées du té inférieur de fourche.
Ces pièces (sauf le compteur et le robinet) proviennent d'un autre Amigo. Elles sont dans un bien meilleur état de présentation que les miennes. Pour autant il fallait les rafraîchir. Des "pics" de rouille avaient fait leur apparition sur le chrome.
La solution dans ce cas c'est d'abord de la laine d'acier (plus ou moins grosse selon l'attaque) puis du "Belgom chrome" pour un brillant profond. 
Ce produit protège aussi la pièce. Je l'utilise car il n'est pas très onéreux et fait beaucoup d'emploi : on en met peu compte tenu de son efficacité. Ma fiole de produit, la plus petite, a  déjà fait trois motos et il en reste la moitié...
 Sur les pièces les plus atteintes, on peut pulvériser du WD40 sur la laine d'acier avant de frotter, c'est alors très efficace, après il faut laver avec du produit à vaisselle, rincer abondamment avant le Belgom chrome, toujours lui*
* précision, je ne touche rien de chez Belgom pour la pub ! C'est bien c'est tout.
Pour les pièces peu fragiles et très rouillées genre jantes, échappements, je procède dehors avec une brosse métallique certes mais pas trop (!) je veux dire pas trop dure, mais le lecteur malin comme il sait l'être aura compris de lui-même. Bref une brosse en métal, beaucoup d'eau additionnée de Vigor et frotte frotte. La rouille s'en va à toutes jambes. Il faudra fignoler ensuite avec la laine d'acier et le ? Et le ?
Belgom !

Ci-dessous, les fixations de guidon, rondelles et écrous. Nettoyés avec le mini-outil/brosse acier doux, puis laine d'acier et Mirror pour finir et protéger l'acier qui n'est pas chromé.
Le robinet d'essence à la laine d'acier et au Belgom (alu cette fois).
Attention, le robinet doit garder son aspect pas brillant mais presque, de truc qui a vécu.
Pas de cliquant !
Inutile de le démonter, il fonctionne parfaitement. En mécanique parfois le mieux est l'ennemi de bien. Personnellement, lorsque ça fonctionne parfaitement, je ne vois pas l'utilité d'ouvrir ou de démonter.


Là, on a du chrome, on peut y aller, faut que ça brille !
Les vis d'origine évidemment sont conservées. Brossées au mini outil, c'est long et fastidieux, mais tellement mieux que de la quincaillerie moderne.
A ce propos, je m'autorise parfois une rondelle moderne lorsque les vieilles sont trop rouillées. Les vis et boulons par contre non ! J'en ai un stock important d'avance ce qui me permet (mais pas toujours) de faire face.


Le guidon et le compteur furent une partie de plaisir. Ce sont des pièces propres à travailler.
Détail amusant, sur mon Amigo le câble de compteur était absent. J'avais dans mon stock de pièces un petit câble de compteur neuf et anonyme qui traînait.
Devinez pour quel engin il était ? C'est beau le hasard parfois...


Avant de quitter l'atelier, j'ai fait une jolie photo de mon boulot. J'aime bien faire de l'autosatisfaction au fur et à mesure de l'avancement, sinon c'est souvent ingrat ! Et puis on n'est jamais mieux servi que par soi-même disait maman...



Et dire que tout ça redeviendra un Amigo !

27 mai :

Peu de temps de résultat en apparence ce soir, mais du temps passé sur une paire de pédales.
Jamais je n'aurais pu croire qu'un jour je m'occuperais d'une paire de pédales, pensez des pédales sur des motos : une hérésie !
Cela dit, ce petit machin n'est pas une moto, le pauvre...
En attendant après 24 h de trempage dans du Vigor et un sacré nettoyage au produit à vaisselle, les pédales sont prêtes à être mises en beauté. Il faudra tout de même presque 2 heures (!) pour les ravoir à la laine d'acier et au mini-outil pour aller dans tous les coins et recoins.
Heureusement que la base était saine.


J'en ai aussi profité pour préparer le mignon faisceau électrique. De par son passage à travers le cadre, il n'était pas trop minable et facilement rattrapable. Nettoyage au white-spirit, puis au produit à vaisselle, séchage, et application d'un produit externe automobile pour le protéger.
Avant de partir, j'ai démonté le phare qui tenait avec de l'adhésif. La vitre en plastique de l'optique est jaunie et présente quelques éclats sur les côtés (d'où l'adhésif). Son arrière est bon, le porte ampoule et l'ampoule également. Je n'envisage donc pas de le changer, mais si vraiment il est trop moche une fois remonté, on verra.


Le cuvelage de phare n'est pas abîmé, mais très sale et fané. Il va falloir le dégraisser, ôter toutes les traces d'adhésif et le passer avec un produit ravivant. Je pense à du Rustol pour les plastiques. A mon avis, cela tiendra mieux qu'une peinture. Je pourrai faire en même temps le marchepied. Mais avant il faut arriver à enlever toutes ces traces noires qui semblent incrustées : ce n'est pas gagné !



28 mai :


Encore deux heures passées à s'escrimer sur les parties en plastique. Voilà un boulot qui est ingrat !
Ces satanées traces noires incrustées ont du mal à partir.
J'ai essayé tous les produits à ma disposition :
White-spirit (peu efficace sauf sur la colle de l'adhésif), acétone qui faisait fondre la matière à oublier vite, belgom alu inefficace là-dessus (évidemment...), acide oxalique, celui que l'on utilise pour blanchir les coques de bateaux : zéro pour ça, alcool à brûler, lui a été très efficace sur le phare.
La preuve :

avant :



après :


Il faut frotter quand même...
Je lui ai passé les attaches métalliques (indémontables et bien oxydées) au Frameto et j'ai changé les boulons de fixation trop rouillés.
Le Frameto est un antirouille très efficace, noir  et rapide à sécher. Excellent produit.
Dans le même genre il y a le Rustol très efficace également, translucide, qui laisse un film protecteur. Lui, je l'utilise pour protéger les pièces  métalliques brutes qui ont été polies ou grattées, donc devenues vulnérables. Seul inconvénient il est très long à sécher : faut anticiper !

Le petit contacteur est en bel état et fonctionne bien. Sa rondelle a été désoxydée.
L'optique de phare est irrémédiablement ternie. Je lui ai passé son entourage à la peinture alu afin d'estomper les éclats manquants, mais c'est surtout pour que cela ne fasse pas trop minable une fois remonté. Ce phare de fabrication française est commun je pense à d'autres cyclos (Motobécane,  Peugeot ?) je chercherai de ce côté là en occasion.
Le marchepied n'a pas voulu céder et il reste incrusté de noir : une catastrophe !
Ce soir il est dans un évier à tremper dans un bain de lessive St Marc.
On verre demain.

J'ai préparé le feu arrière finalement plus abîmé qu'il n'y paraît. Il aura fallu recoller plusieurs morceaux à l'intérieur...


J'ai gardé la bonne nouvelle pour la fin. Il s'agit d'une selle reçue aujourd'hui. C'est un membre de l'amicale Honda qui me l'a échangée contre une histoire de moto sur le forum.
Ce geste très sympa est peu banal, fallait y penser à un tel échange !
Cette selle sera à restaurer : soudure au cul, mousse à recharger un peu et housse à changer. Les housses existent, le plus difficile étant de trouver l'âme de la selle.



Merci Gérard.

La restauration va s'arrêter quelques jours, jusqu'au 10 juin environ car nous avons décidé de partir nous balader pour souffler un peu après nos travaux.
Les motos et l'Amigo restent aux bons soins d'Alice !

29 mai :

Vue la météo, nous avons repoussé notre départ, j'ai pu du coup m'occuper du marchepied.
Après une nuit passée dans un bain de lessive St Marc, il n'a pas trop changé d'allure. Les traces noires quoique estompées sont toujours là et le plastique a une sale tête !

Le dessous n'est pas mal, mais on ne le verra pas une fois en place...


Le dessus est nettement moins joli, je trouve :


J'espère qu'avec les éléments peints de neuf ça ne fera pas trop affreux !
Au pire j'essaierai de le peindre aussi.

Amis lecteurs on se retrouve vers le 11 juin... Avec le soleil !

mercredi 22 mai 2013

Démontage troisième jour

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22 mai 2013

En arrivant dans l'atelier, c'est - selon Alice ma fille - une sorte de dinosaure qui m'attendait et c'est vrai que cette carcasse ressemble un peu à un petit dino prêt à galoper...


Démontons donc la colonne de direction pour l'empêcher de partir !
Les mignons roulements en état, aucun jeu, mais une graisse fatiguée.


Les bagues (anciennement) chromées seront changées, j'en ai d'autres à boulonner. Il faudra faire sauter les rivets de celles-ci.


Le petit dino...


Son bras oscillant et son axe riquiqui. La petitesse des éléments me fait un peu bizarre. Je ne suis pas habitué à démonter des cyclos !
Pour ce bras : nettoyage, dégraissage, ponçage et peinture.


Les amortisseurs ont été sortis avant le bras évidemment. Ils sont tristes et il y aura du boulot dessus...
Par contre leur fonctionnement paraît satisfaisant.
Le cache est en plastique et je n'ai pas trouvé comment les démonter pour les préparer.


La petite béquille mignonne, sale et grasse.
Elle est avachie sur l'arrière, ce sera à revoir, je demanderais l'avis des gars du forum.


Le cadre nu vu de dessous. Il présente très peu de corrosion.


C'est vraiment peu de chose un cadre d'Amigo...


Encore moins volumineux une fois rangé.
Tout y est là-dessous !


J'aurai passé aujourd'hui 1h 30 environ tout compris.


Le démontage est terminé, reste à faire un bilan.
Certaines pièces sont irrécupérables, j'en ai trouvé d'occasion. Il me faudra en plus une selle (occasion) et un échappement neuf.
Le moteur ne sera pas ouvert car il fonctionne bien et ne perd pas d'huile. Cet Amigo n'est pas destiné à faire de la route, il servira sur place. Au pire, s'il faut l'ouvrir ensuite, son démontage du cyclo doit prendre 30 minutes ! 
La partie cycle aura une peinture. Après nettoyage, le cadre se contentera d'un ponçage sérieux au préalable (à confirmer au moment où...).
Les petits éléments amovibles sont par contre plus abîmés. Pour eux il faudra une application d'apprêt, ce qui a dû être fait sur le cadre (lors de la précédente restauration) mais pas sur eux. Je ne m'explique pas autrement la différence d'état entre ces pièces.
Les roues me posent problème. Je ne sais pas quoi leur faire et je n'ai pas envie de changer les jantes, non pour le coût, mais pour le boulot que ça représente...
Les garde-boue enfin ne seront pas faciles à ravoir, mais leur corrosion n'est ni perforante, ni même "attaquante".

Voici pour ce premier bilan. Comme j'ai encore quelques travaux à faire dans la maison, je commencerai cette restauration par les éléments qui ne demandent qu'un nettoyage, polissage. La peinture viendra après, il faut pouvoir s'y tenir !
Habituellement, je ne procède pas de la sorte. En effet, au fur et à mesure du démontage, je restaure les éléments, de sorte que la moto est démontée, elle est prête et je n'ai plus qu'à la remonter !
Ici l'engin est si simple et il y a si peu de pièces qu'il ne m'a pas semblé dommageable de tout mettre en caisse en même temps.

Démontage : c'est parti !

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20 mai 2013

Enfin les travaux de la maison touchent à leur fin et votre serviteur a décidé de consacrer quelques heures par jour aux motos. En guise de moto, ce sera l'Amigo qui se trouve dans la (petite) file d'attente.

Objectif démontage et analyse des besoins sur 2/3 jours.
La simplicité de l'engin permettra d'aller vite. Le plus long comme d'habitude étant de noter ce qui paraît important, de photographier et de ranger.
Surtout ne pas se priver de photos, le numérique est super pour cela. Même s'il y en a des tonnes il en manquera toujours une à un moment donné.

Commençons par ce qui est dessus et accessible, inutile de s'embêter à aller chercher les éléments cachés puisqu'il sera démonté de A à Z.

Le marchepied ouvre les hostilités. Bien jauni il sera à nettoyer et devra retrouver un semblant de teinte ivoire. Nous devrons piocher dans les nombreux produits existants.
A ce propos, toujours regarder parmi les produits ménagers. Ils sont très performants et bien moins chers que les produits spécialisés qui jouent sur la fibre "passion" qui sommeille en chacun d'entre nous.


Déjà quelques entrailles apparaissent :


Sur cet engin, tout est simple voire simpliste et on aura des surprises n'en doutons pas !
Avant le démontage total, une mise en route s'impose. A mon retour, il avait refusé de démarrer.
Vérification de l'allumage : une étincelle à allumer un bbq ! Donc bobine, bougie et antiparasite sont bons.
Soufflette dans l'arrivée d'essence, un bon plein et pédale mon garçon...
Le voilà qui démarre le bougre, deux tours de jardin plus tard et le démontage sérieux lui pend au nez.
C'est pour son bien !
Sur cette photo on voit l'étincelle. Je suis bien content de moi pour avoir capté une étincelle...


On vire la selle MBK qui sera conservée en attendant d'en trouver une.


On démonte le porte bagage, 3 écrous seulement, c'est un beau bloc de rouille. Il ne reviendra sans doute pas et devra être peint :



Il est nécessaire de bien vidanger le réservoir. Cette petite pompe à pétrole est très pratique pour les motos car elle va bien dans les coins !


Le bouchon est oxydé à l'intérieur et le réservoir un peu aussi, mais un traitement Restom ne sera pas indispensable. La photo exagère !



Puisque nous sommes dans l'essence, passons au carbu et aux filtres.
Le filtre à air encrassé sera changé si non nettoyable.



Les durites et le filtre à essence également :


Le carter de chaîne : dégraissage, décapage et peinture pour lui.
L'oxydation de tous les éléments peints n'est pas perforante, seule l'ancienne peinture à la bombe est boursouflée. Toutefois un décapage total sera à prévoir pour les pièces amovibles.
J'espère ne pas être obligé de passer par la case sablage, car je n'ai pas le matériel pour le faire.



Sous le carter : la chaîne, bien crade ! A dégraisser, dessabler, dérouiller...



Sous la chaîne, surprise, un montage fantaisiste et dangereux :
Un circlip remplacé par du fil de fer torsadé.
Si le pignon sort de son logement, la chaîne saute et bloque la roue arrière, le bonhomme va faire un bisou à sainte gamelle !


Cela a dû se produire vu que le carter moteur est abîmé :


On démonte ensuite le phare, ne pas oublier les photos pour la position des fils.
Tout semble en état, sauf la coque qui tenait avec du scotch : à voir.


Les fils sont intacts, pas de bidouillage, bons contacts, couleurs respectées.
Tout est bon.



Le compteur est en état, sale il n'avait pas de câble, mais testé avec la visseuse (position dévissage), il fonctionne.


L'interrupteur de lumière bloqué ne l'a pas été longtemps grâce au wd40.
Ce produit est très efficace pour de nombreux usages en lubrification, mais également en dissolution.
Pour décoller les poignées caoutchouc des guidons par exemple. Il suffit d'en pulvériser un peu à l'intérieur et la colle néoprène est dissoute immédiatement. 
Très efficace contre le goudron aussi et en dégrippant.


Une photo des câbles avant démontage pour repérer leur positionnement et leur passage.


Concernant les câbles, il est important de bien noter leur cheminement, car ce n'est JAMAIS évident à retrouver et le risque de coincement est grand.
Vous noterez l'adhésif en guise de guide câble...


Les commodos sont en très bon état, un polissage soigné suffira, par contre il faudra appuyer...
La poignée d'accélérateur fonctionne bien.
Les caoutchoucs des 2 poignées sont récupérables et nettoyés auront belle allure.
Voici les éléments du guidon en attente de restauration : 


Voici le guidon débarrassé de ses attributs.
La moto rouge en arrière plan est une Honda (évidemment) 125 ss de 1967, elle attend une restauration elle aussi. A suivre sur un autre blog dont vous trouverez le lien en 1ère page.


La petite plaque avant à repeindre. Elle portera un autocollant. Tous les autocollants ont disparu, fort heureusement, ils sont refabriqués.


Ici ce sont les supports de phare. Ils paraissent minables, mais pourtant ils sont récupérables et reprendront bonne mine après le passage d'Alain !


A ce stade, je débloque les écrous de fourche avant le démontage de la roue.
Ce n'est pas forcément plus pratique, mais je préfére. Il me semble que le devant est plus facile à tenir, à bloquer.


Nous allons nous arrêter pour aujourd'hui, demain ce devrait être fini...

J'ai passé environ trois heures aujourd'hui sur l'Amigo. Attention ce temps prend en compte les photos,  la prise de notes, l'évaluation de l'état et le rangement des pièces.